Magazine « L’Officiel de la franchise » : Ocean Adventure en passe de franchiser ses surf camps
Club d’Entrepreneurs Surf & Océan : – 10% pour les Clients Ocean Adventure
Découvrez l’interview de Nicolas Mercadieu, le père fondateur d’Ocean Adventure au micro de France Bleu pour l’édition « Éco d’ici » :
« Chaque Matin, dans l’Éco d’ici, on met en avant les entreprises du Pays basque. Aujourd’hui, dans l’Éco D’ici, on va découvrir le tourisme, mais ce tourisme, il est sportif ce matin. Oui, c’est ça. Nicolas Mercadieu, c’est le fondateur d’Ocean Adventure. C’est basé à Anglet et c’est la première agence de voyage qui propose des séjours spécialisés dans les sports de glisse. L’objectif, c’est de trouver pour vous les meilleures écoles de surf dans la région et nous expliquent d’où vient cette idée.
« En tant que consultant, je rends beaucoup de services à l’économie locale, à des entreprises locales. Donc j’avais des écoles de surf. Donc ces écoles de surf, je travaillais pour eux et je les positionnais en premier dans Google sur écoles de surf Anglet, écoles de surf Biarritz. J’en ai eu une, j’en ai eu deux. Le troisième voulait travailler avec moi et je me rendais compte, avec un peu de travail, je faisais tourner un prof tout l’été. Un prof en été, c’est quatre cours par jour, 40 € par cours, huit personnes par cours. Je me suis dit « C’est quand même beaucoup d’argent. » et de là, je leur ai dit « Écoutez, on va changer un peu la donne. Je vais, moi, commercialiser pour vous et vous allez me donner un pourcentage des ventes. Ça a bien pris. On a une sélection d’une vingtaine d’écoles de surf entre Hendaye et Lacanau. On essaie de se développer doucement vers le Grand Nord, vers la Bretagne et la Vendée. Mais au total, on a 200 prestataires.
« Je suis client, j’ai envie de découvrir un peu le surf et en même temps, on va passer une semaine de vacances. Comment ça se passe sur le site ? »
« C’est très simple. On a un catalogue de prestations, des cours de surf ou des cours de surf avec hébergement et c’est ça un surf camp. Et on est en général dans des structures familiales où il y a une vingtaine de personnes qui sont accueillies, un peu moins en vrai. Entre 12 et 15 ans, on a entre 12 et 16. Donc, c’est hyper convivial. On est chez l’habitant, en quelque sorte, dans des structures familiales. Et c’est ça qui ressort dans la sélection de profs qu’on a, pour qu’ils voient ce que c’est la vie un peu comme Erasmus. Moi, c’est ce que j’aime et je réfléchis plus France, Espagne, Anglais. Moi, je suis très européen dans ma tête. Tu vas te retrouver avec des Italiens qui parlent espagnol, avec l’accent argentin, les Canailles, Fuerteventura, j’adore, c’est très latin.
Cette année, on a fait 50 % de chiffre d’affaires en Maroc et on a des familles qui partent et on les envoie dans des dans des petits paradis perdus qui vont être accueillis dans des jolies maisons et ils y vont avec des enfants, ils vont faire des dromadaires sur la plage, ils passent des semaines de rêve.
Ce qui est rigolo, c’est que la population, le public, il a beaucoup évolué. Du coup, on a des propositions pour un peu tout le monde. Par exemple, là, j’ai des pharmaciens d’Hendaye un peu plus vieux que moi, qui doivent avoir la petite cinquantaine, qui sont partis faire une semaine de surf à Taghazout, au Maroc, dans un surf camp un peu plus cosy, un peu plus haut de gamme que la simple chambre d’hôte d’Hossegor. Donc, on a un peu de tous les standings. C’est ça qui est assez rigolo.
Mais nous, derrière, on a des objectifs pédagogiques et c’est ça qu’il ne faut pas oublier. Et c’est ça qui ressort dans la sélection de profs qu’on a. Et aujourd’hui, je profite du passage à la radio pour faire un appel à projet.
On cherche des profs de surf qui veulent se monter. On a des gens qui veulent mettre des sous pour louer ou acheter des maisons en bord de mer en France ou à l’étranger. Et aujourd’hui, le service qu’on propose, c’est à des profs qu’on connaît, on en croise tous les jours, on leur dit « Tu ne veux pas te monter ? On peut t’aider à générer un business. Et aujourd’hui, c’est ce qu’on fait. On envoie 50, 70, 150 000 € à certains surf camps et ce n’est pas rien !